NE VOUS FAITES PLUS ARNAQUER !
Que vous mangiez bio, ou pas bio, vous êtes concerné.
Et si vous êtes né à partir de 1950, et que vous jardinez… encore plus !

MAITRISEZ LA BASE DE VOTRE AUTONOMIE ET DE VOTRE SANTE :
LES SEMENCES

Un savoir et un savoir-faire confisqués, (re)gagnez votre liberté !

Vous ne voulez plus de ces supercheries :

● L’arnaque du « bio » ?!

80% des semences et des plantes « bio » sont en réalité des F1 !! [1]

Les F1 sont partout (plantes potagères, fleurs ornementales, céréalières) … mais affichés nulle part, et c’est « légal » ! [2]

Si vous ne savez pas ce qu’est une graine F1, alors urgence ! Vous êtes au bon endroit…

 

● Le hold-up mondial sur notre patrimoine commun

En moins de 50 ans dans le monde, nous avons perdu 80% des variétés potagères de nos ancêtres, au profit d’une poignée de multinationales qui brevètent le vivant. [3]

 

● Ils ont rompu le cycle d’abondance en moins d’une génération.9 jardiniers sur 10 retournent acheter des graines chaque année comme si c’était normal.

Ne parlons pas des agriculteurs qui n’ont pas le droit de récolter leurs propres semences sous peine de poursuites judiciaires. [4]

 

● Ils ont créé des graines appauvries, qui ne nourrissent plus vraiment personne.C’est dramatique pour toute la chaîne :

les graines sont censées nourrir la terre, leurs plantes censées faire du vrai nectar pour nourrir la faune, leurs fruits et légumes censés être nutritionnels et naturels pour nourrir les Hommes.

Vous voulez ENFIN :

● SAVOIR, même si vous n’avez pas de jardin pour faire les bons choix et prendre les bonnes décisions

Celles qui améliorent votre santé et celle de la planète

  • AGIR, à votre échelle, avec efficacité dans votre jardin, ou dans une simple jardinière
    on peut tous agir et avoir un grand impact

C’est simple : maîtriser le sujet des semences, c’est la base de notre alimentation et de la permaculture.
Autonomie, nourrir les Hommes, la Terre, faire fructifier l’abondance : des graines libres.

Tout cela sans prise de tête, avec du bon sens :

  1. M’assurer de trouver de vraies bonnes graines
  2. Maîtriser l’art des semis toute l’année
  3. Savoir produire mes propres graines
  4. (en offrir autour de vous !!)

Si vous ne maîtrisez pas ces 3 points à 100%, ou si vous avez de mauvaises expériences avec le n°2 et 3…

Alors, découvrez ma nouvelle formation essentielle :

Pour qui :

À ceux qui veulent retrouver le goût d’antan, aux Epicuriens qui aiment bien manger.

À ceux qui veulent préserver la planète, la biodiversité. Nous avons tous besoin d’eau, et de nourriture, et la semence est le premier maillon de la chaine alimentaire mondiale.

Cette formation s’adresse aux débutants en jardinage.

Mais aussi aux chevronnés qui n’ont jamais testé de produire leurs propres semences.

Ou au contraire… ceux qui le font sans s’être formés (et cela peut être dangereux dans certains cas !!).

Et pour tous ceux qui veulent avoir une alimentation réellement saine (riches en nutriments), même s’ils n’ont pas la possibilité de jardiner pour produire une partie de leurs besoins.

 

Pourquoi :

  • Pour créer un jardin sans problème:
    on va le voir dans quelques instants, la semence est le point de départ d’un cercle vertueux, ou vicieux…
  • Pour rejoindre les militants des dernières semences libres et vivantes dans les sols.
    Nous sommes à un tournant majeur de l’Histoire !
    De plus en plus de jardiniers rejoignent les rangs et travaillent pour notre souveraineté alimentaire.
  • Pour le plaisir d’émerveiller vos enfants.
  • Pour vous reconnecter à vos origines, et cultiver sans pression de la graine à la graine.
  • Pour avoir des graines adaptées à notre future climat (canicule, orage, maladies…)

Attention, vous me connaissez :

Dans mon infolettre, comme mes formations et coaching, je m’efforce de suivre « la voie du milieu ».
Rien n’est jamais 100% noir ou blanc, car tout est interconnecté.

Sur le sujet des semences, c’est plus vrai que jamais !

Pour vous rendre réellement autonome (qui vient du grec : autos nomos : se fixer soi-même ses propres règles), je vais vous donner une vision humble mais complète qui m’a pris plusieurs mois d’investigation, de rencontres, et de synthèses :

  • Toutes les informations 360° avec différents acteurs filmés sur le terrain :
    scientifiques, agriculteurs, maraîchers, jardiniers, permaculteurs, militants, parents, ingénieurs horticulteur, docteur en science de l’environnement
  • Toutes les erreurs de ceux qui pensaient pourtant bien faire, que vous éviterez directement
  • Toutes les arnaques (légalement décryptées) de ceux qui essaient de vous avoir, et qui ne fonctionneront plus

 

Je ne vais pas vous mentir :

Dans cette formation, je ne vais pas passer mon temps à tabasser les lobbies et leur dire qu’ils sont responsables de tout – pour cela, vous avez des tas de documentaires que je vous recommande. [5]

Non, je vais vous donner de l’espoir réel, et surtout des clés pour agir à votre échelle, car nous sommes en train de vivre un tournant positif, et plus nous serons à le savoir et agir, plus beau sera notre futur commun.

 

Je ne vais pas vous promettre la lune :

Par exemple, sur le sujet de la production de vos graines :

Je ne ferai pas de vous des semenciers, c’est tout un métier !

 

Je ne vous conseillerai pas non plus de produire toutes les semences de tout votre potager.
Pourquoi ? :

– C’est impossible techniquement si vous souhaitez avoir des semences de qualité (avec un bon brassage génétique)

– C’est réservé à une minorité de personnes (il faut avoir un jardin immense alloué que pour la production de semences, c’est tout un métier). Et ça ressemble à cela :

– Je vous formerai sur toutes les bases de manière ultra simple (contrairement aux livres de botanique trop compliqués) et on s’attardera sur ce qui vous intéresse au potager, en fleur et en aromatique, pour ne produire que ce dont vous avez besoin, de manière réaliste et agréable.

 

Et surtout, vous agirez sans les erreurs des jardiniers bien intentionnés :

Comme semer des graines F1 sans le savoir.

Comme récolter vos graines au mauvais moment, alors qu’elles ne sont pas 100% mures.

Comment semer des graines offertes du voisin ou d’un inconnu, ou de chez vous, mais qui ont été hybridées avec parfois des cas dangereux de légumes impropres à la consommation.

Comme un mauvais tri des graines et une mauvaise conservation qui anéantit le taux de germination de toutes vos graines.

Et la liste est longue…

 

Cette formation Semences & Semis, c’est comme obtenir votre permis de conduire !

C’est la base pour un vivre ensemble sans accident, en toute responsabilité et conscience.

C’est la base pour acquérir votre autonomie, mais ce sera vous au volant, vous en ferez ce que vous voudrez tout au long de votre vie.

Cette lettre est vraiment importante

Chère lectrice, cher lecteur,

Que vous décidiez de rejoindre ma nouvelle formation ou pas, je vous livre dans cette lettre tout ce qu’il vous faut savoir pour reprendre en main votre vie, notre monde, car les semences c’est vraiment l’alpha et l’oméga de la Vie sur Terre.

 

Aujourd’hui, c’est simple, vous avez 2 choix uniquement :

Pour jardiner ou pour vous nourrir, le choix est toujours le même :

Les semences industrielles
ou
Les semences non industrielles

Les semences peuvent être vendues sous 1001 noms, mais en réalité, c’est toujours pareil.
Voici une liste non exhaustive :

Dans les 2 cas, il y a de l’hybridation, puisque c’est naturel.

Mais l’hybridation par les industriels, par les multinationales du chimique c’est ÇA qui pose problème :quant à leurs intentions.

Hybrider = sélectionner

 

Et on est bien content :

Heureusement que les premiers jardiniers du monde ont hybridé les ancêtres sauvages de ce que nous mangeons aujourd’hui.

Car le chou sauvage, la laitue sauvage, ou les carottes sauvages… personne n’en veut 😊.

C’est grâce à leur sélection naturelle au fil des siècles, des millénaires, que nous pouvons avoir aujourd’hui tant de variétés pour les tomates, les carottes, les pommes de terre etc… 

Je vais vous former pour savoir faire la différence entre les 2 : graines industrielles, ou naturelles.

Et je vous recommande chaudement de ne cultiver et manger, autant que possible, des graines NON industrielles.


Pour cela, il faut comprendre une seule chose :

Pour le jardin et votre santé,
tout part de la semence.

Une semence industrielle peut créer un cercle vicieux.

Une semence non industrielle va créer un cercle vertueux.

C’est ce qui explique pourquoi Giselle récolte 10 fois plus que son voisin à 3 mètres !

 

Voyons ce cas pratique qui illustre tout ce qu’il faut comprendre.

Giselle et Anthony sont voisins dans une maison mitoyenne, dans le sud.

Alors qu’ils ont :

  • Le même niveau de jardinage 
  • Le même climat
  • Le même taux d’ensoleillement
  • La même pluviométrie
  • Les mêmes canicules
  • Le même type de sol
  • Presque les mêmes cultures…
  • Et tous les deux font de la permaculture…

Bilan au bout de 2 ans à peine : le potager d’Anthony fait pâle figure !

 

La raison : leur choix de leurs semences la première année 

Anthony a un fait comme monsieur tout le monde :

  • Il a acheté ses semences dans l’enseigne de jardinage de la ville la plus proche 
  • Sur les sachets, y a pas indiqué « F1 », alors il se dit que c’est bon.
    Il a même augmenté son budget pour prendre des sachets notés «bio ». 
  • Et puis franchement, il n’en sait rien pourquoi tout le monde diabolise les F1. 


Giselle agit un peu autrement, car elle connaît mieux la région qu’Anthony :

Elle a acheté ses graines localement autant que possible : elle a frappé à la porte des anciens qu’elle connait bien, pour avoir de leur stock de graines maison, elle est allée dans la médiathèque du village où ils ont récemment mis à disposition une « grainothèque » de voisins, etc…  

Et puis, elle a aussi acheté auprès de Kokopelli ou les autres semenciers artisanaux réputés de qualité (par exemple, liste non exhaustive, en France : Réseau semence paysanne – Milles Variétés Anciennes – BiauGerme – Germinance etc…)


La première année, le jardin de Giselle se porte déjà mieux

Et c’est bien normal :

Anthony a acheté des semences qui n’ont jamais connu son terroir : elles ne sont pas adaptées à chez lui. C’est comme demandé à un ours polaire de s’adapter en moins de 6 mois à vivre en Australie…

 

Giselle, au contraire, bénéficie de graines déjà plus adaptées. Concrètement :

  • Ses semis lèvent plus tôt que ceux d’Anthony, et elle a peu de perte, presque tout lève.
  • Ses plantes donnent beaucoup plus de récoltes, elles sont déjà adaptées à sa région, elles n’ont pas à lutter pour découvrir leurs conditions de vies et y faire face. 
  • Elles sont moins chétives et fragiles aux premières intempéries.


Giselle laisse monter en fleurs ses tomates, poireaux, aulx et salades, et elle a raison !

Marc au contraire, ne laisse rien monter en fleur car il récolte tout avant !

Il débute dans le jardinage, et ne sait même pas à quoi ressemble les fleurs de ses légumes, comme par exemple ses pommes de terre, puisqu’il ne les laisse pas vivre leur cycle en entier.

 

De quoi augmenter les récoltes, et avoir des semences gratuites

Giselle sait bien que,
plus il y a de fleurs au jardin => plus il y a de pollinisation => et donc plus de rendements.

Jusque 20% de rendement en plus !


Aussi cher que le caviar : les graines qui viennent de votre jardin.

En fin de saison, quand la plante finit son cycle, la fleur donne ses graines, que Giselle conserve ultra précieusement pour les ressemer l’an prochain.


Justement, c’est surtout cette 2ème année que le choc est violent pour ces 2 voisins…

À son 2ème printemps de jardinage, Anthony fait comme tout le monde : 

  • Il récupère ce qui lui reste de son sachet ouvert l’an dernier.
    Mais comme il ne connaissait pas les conditions scrupuleuses pour conserver ses graines, elles ont presque toutes perdu le pouvoir germinatif. Pas étonnant qu’aucun semis ne lève, et ce n’est pas qu’il est mauvais jardinier…
  • De toute manière, il voulait changer ses cultures. Il retourne au supermarché ou à la jardinerie du coin…

Giselle au contraire, ne rachète presque rien ce printemps-là.

 

Comme elle a planté des vivaces, presque tout repart tout seul.

Et pour les plantes annuelles, elle a ressemé celles qu’elle a récoltées l’an dernier.

Ses plantes survivent encore mieux aux intempéries que l’an passé. 

 

Un jardin sans béquille

Le jardin de Giselle devient de plus en plus autonome, comme un bébé qui apprend à marcher seul, et qui se met à courir, à grandir, à vivre sa vie.

Ses plantes résistent mieux aux maladies, car elles sont adaptées au terroir depuis maintenant 2 ans !

 

Un jardin sous perfusion

Au contraire, chez Anthony, les graines d’éprouvette galèrent pour leur première vie enterrée.
Elles sont sans passé, sans info pour savoir comment réagir. Elles partent de zéro.


Pour parer à la moindre maladie, il leur faut 1001 assistants qu’on vous vend à prix d’or, des engrais, ou surtout, des produits qui terminent en -cide, pour tuer les ennemis de la plante, au lieu de laisser la plante se renforcer toute seule, dans le temps bien sûr.

Mais personne ne lui donne ce temps.

Puisque le Système veut créer un marché de consommation de graines Kleenex, à racheter chaque année.

Giselle elle, n’a pas racheté toutes ses graines.

 

Un jardin de super-héros 

Giselle a bien observé ses cultures l’an dernier. Et elle a sélectionné intuitivement celles qui lui semblaient les meilleures. Elle en a extrait leurs précieuses graines.

Elle n’a récupéré que celles qui ont survécu aux intempéries du climat :

  • Les graines de tomate du seul pied qui a survécu au mildiou
  • Les graines de 3 pieds de salades qui ont survécu à la canicule
  • Les fleurs qui n’ont pas eu besoin d’arrosage toute l’année 
  • Les radis les plus succulents qu’elle ait goutés

Et c’est exactement cette démarche qui lui facilite la vie, à vie !

Alors que le jardin de Giselle progresse vers une amélioration à l’infini,
le jardin d’Anthony, lui, stagne ou régresse car chaque année, il passe par la case départ !

On nage dans l’absurde…

En fait, pour créer un nouveau marché de consommateurs (les semences : jardiniers, maraichers, agriculteurs) et le verrouiller (semences copyrightées + prévues pour ne pas agir comme dans la nature), les lobbies ont tout fait pour faire un holdup légal.

Mais les lois changent, et elles sont en train de changer justement !

Nous pouvons tous agir, surtout en permaculture.

 

Ce qu’il faut retenir sur les graines F1 achetées/semées à votre insu 

Ces F1, mauvaises pour qui ?
Pour votre santé, pour celle de votre sol, et pour celle des pollinisateurs.
Car ce sont des clones.
Ces semences ont l’air de semence, mais en ont aucune vertu !

Ces semences ne nourrissent personne.
Elles nous appauvrissent (santé/alimentation/sol).
Mais elles enrichissent…. Une poignée de multinationales.

 

Pourquoi est-ce « mal » ?

La nature maximise la vie en créant la diversité.
Dans la nature, aucun clone n’existe (dans le règne végétal comme animal), car ce n’est pas une stratégie de survie : plus il y a de brassage génétique, mieux c’est : résilience, abondance.

Bref, aucun clone parmi les 7,8 milliards d’humains.

Un dessin vaut mieux que 1 000 mots, voici ce qu’il en est dans un sachet :

Mais dans la nature, aucun clone n’existe, ni dans le monde animal, ni dans le monde végétal.

C’est donc contre nature !

 

Pourtant, dans nos assiettes, ces 7,8 milliards d’humaines mangent du consanguin en permanence

  • Pour maximiser les rendements, ces multinationales ont créé des clones (je fais court !), et des organismes modifiés (OGM). Et ils ont appauvris notre stock de diversité.
  • Aujourd’hui, l’humanité se nourrit à partir d’une trentaine de plantes (contre 500 il y a moins de 100ans.) Et parmi ces plantes, très peu de variétés différentes de chaque plante.
  • Avec ces F1, le rendement est là, mais pas la qualité.

Ni le long-terme.
Ce sont des semences d’ultra court terme, ce qui n’est pas sain, pas naturel.

Voici ci qui se passe une fois en terre :

Car en 2ème année, les agriculteurs ou les jardiniers qui les ressèment observeront Dr Jekyll se transformer en Mr Hyde : bizarrement les belles promesses se volatilisent : plus aucun rendement, plus aucune plante similaire, on passe d’un extrême à l’autre : du « rêve » au cauchemar !

Mais les agriculteurs ne le voient pas, car eux ils ont l’interdiction de faire le test, sous peine de poursuites judiciaires.

Encore pire : aucune étude toxicologique menée depuis 50 ans pour vérifier les conséquences de ces F1 dans nos veines, dans nos champs.

 

Voici les 3 étapes pour briser ce cercle vicieux.

1. Ne soyez plus pigeonné.
Comment savoir si vous êtes en train de cultiver ou de manger une plante F1 ?


À l’œil nu, vous ne pourrez jamais le savoir, les graines se ressemblent !

Et sur l’étiquette non plus : en respectant une certaine dose, ils ne sont pas obligés de mentionner que c’est du F1. [2]

Vous avez donc 2 options.

  • Faire confiance 
  • Ou faire un test dans votre jardin, pour un résultat au bout de 2 ans…

Option 1, attention :

Dans ma formation, je ne vais pas seulement vous donner mon carnet de confiance de semenciers artisanaux (BiauGerme – Germinance – Mille Variétés Anciennes – Pro Specie Rara – Réseau Semences Paysannes etc…).

Non, ma formation a pour but de vous rendre autonome.
Que vous puissiez déterminer vous-même si vous trouvez que c’est bien ou pas.

C’est pourquoi la partie 1 et 2 de mon programme vous forme à être autonome sur le choix des semences

Vous saurez enfin répondre à cette question « qu’est-ce qu’une bonne graine » pour juger les semenciers à qui vous faites confiance, ou le sachet inconnu qu’on vient de vous offrir.

Vous saurez si vous voulez privilégier les semenciers qui produisent eux-mêmes leurs semences (comme Mille Variétés Anciennes par exemple) ou ceux qui les achètent à des producteurs disséminés, et même hors France (Kokopelli par exemple), en fonction de vos critères.

 

Vous êtes intéressé par l’ultra local de votre région ?

Encore mieux découvrez mon initiative unique au monde :

le Catalogue ultra local des semences libres – par Saine Abondance 

Il existe des tas de tout petits semenciers locaux qui ont besoin eux aussi de votre soutien, et qui perpétuent les variétés qui sont les meilleures pour vous, celles de votre région depuis des siècles !

Ils ne se connaissent que par le bouche-à-oreille, il n’existe aucune initiative (privée ou publique) pour les recenser.

Alors je vous propose qu’on le fasse, vous, et la communauté Saine Abondance

Ce nouveau service est gratuit est accessible depuis une page du site internet de Saine Abondance

Chacun pourra y ajouter en mode collaboratif sa bonne adresse du coin, pour en faire un « leboncoin » urgent et vital !

2. Ne ratez plus aucun semis !
Maintenant que vous avez une bonne graine entre vos mains, ça vaut de l’or.
Maîtrisez enfin l’art des semis pour avoir la main verte à vie.

 

Je constate que même les jardiniers les plus expérimentés ont plein de questions sur les semis. 

Et trop souvent, on s’en prive alors qu’un semis maison est 1000 fois meilleur pour la pérennité de votre jardin, comparé à un plant qu’on vous vend à prix d’or.

 

J’ai réalisé un tour de force 

Pour centraliser tous mes conseils sur les semis, pour que vous maitrisiez une fois pour toute ce sujet si important.


Vous trouverez tout cela dans la partie 3 de votre programme autonomie !

 

Le secret des semis un peu toute l’année !

Si vous êtes OK de créer une mini pépinière sur 50cm, un rebord de fenêtre ou votre terrasse, alors vous allez vous constituer un jardin gratuit à jamais.

Vous pourrez même en offrir, ou les revendre autour de vous.

 

Grosso modo, il y a 2 facteurs d’échec :

– Soit vous n’y êtes absolument pour rien, c’est la graine qui était stérile ou malade.
(et ça arrive bien plus souvent qu’on le pense).

 

– Soit vous êtes entièrement responsable 😉 et il suffit d’un millième de paramètre parfois…
Donc mieux vaut vous former.

 

J’ai donc créé 60 PDF pour vous aider chronologiquement.

Oui, 60 PDF, car je sais que c’est le format le plus facile pour lire et relire, mais vous aurez aussi une trentaine vidéos. 


Au programme : 

Comprendre le processus avant d’agir

 

✔ Avoir accès au calendrier annuel des semis (on peut faire tous les jours de l’année, et je vous le recommande pour étaler vos récoltes) pour planifier comme un pro

 

✔ Mettre toutes les chances de votre côté, ex :
comment ne semer QUE celles qui vont vraiment germer, et comment le savoir
astuces pour les graines achetées en sachet type jardinerie
et pour les graines des grainothèques (surtout même !)
comment déterminer le taux de germination
et surtout, en fonction de l’âge de vos graines…

 

✔ Un matériel gratuit (si vous le souhaitez) mais efficace :
contenant
substrat pour la culture

 

✔ Une méthode simple selon les 2 types de graines
arrosage
ensoleillement
profondeur et distance
quantité de semis
méthode avec les alvéoles ou pas

 

✔ Une grille de lecture pour corriger les erreurs au plus vite
comment identifier un semis qui ne prend pas
comment décrypter les
le nombre de jour pour observer les premiers cotylédons

 

Bref, tous les bons gestes, les bonnes astuces, les infos clés – rien de compliqué, mais il fallait le savoir !

Les bonus pour les débutants :

Comme je recommande les variétés locales, et anciennes, je vous ai concocté des suggestions de variétés anciennes précoces, de saison et tardives pour le top 20 des plantes du quotidien

 

Les bonus pour les avertis :

Pour ceux qui veulent récolter leurs propres graines, ou qui l’ont déjà testé
la majorité des erreurs survient avant le stockage de vos graines, et c’est bien trop dommage !

Récolte des graines – tri – nettoyage – séchage – ensachage – stockage… ne faites pas mes erreurs et ensachez des graines qui vont réellement germer !

 

Ne vous privez plus des semis 100% réussis, toute l’année :

 

✔ Pour des plantes plus robustes, à renforcer avec quelques techniques, plus de récolte

✔ Pour des économies considérables (cf budget plants bio en jardinerie…)

✔ Pour jardiner en intérieur dès maintenant et préparer votre pépinière de printemps

✔ Pour jardiner même sous serre, ou châssis chaud à faire chez vous

✔ Pour gagner une saison d’avance avec des récoltes primeur de qualité

✔ Et enfin, bien sûr, pour l’émerveillement de la Vie, à partager sans modération aux enfants

Je vous donne toutes les clés dans ma formation !

3. N’ayez plus peur de produire vos propres semences.
C’est un jeu d’enfant une fois que vous êtes formé.
Et c’est ultra urgent et vital…


Vous avez envie de produire vos propres graines du potager ?
Des fleurs si belles qui décorent votre jardin ?
Ou de vos engrais verts pour fertiliser le sol les automnes et les printemps ?

Attention ne faites pas ces erreurs !

#1 – Récolter les graines des fruits et légumes du supermarché pendant votre cuisine
(double peine : la majorité sont des graines F1, et les graines pas mûres !)


#2 – Récolter les graines alors qu’elles ne sont mûres
qu’ils viennent du marché bio, ou de votre jardin, il faut attendre qu’ils soient sur-mûr, presque « pourris », en tout cas le peau bien flétrie 

Poivron sur-mûr

Poivron normal

Pour les tomates, il y a même une technique tomate fermentée, pour assurer de bonnes graines matures et facile à extraire.

#3 – Récolter le meilleur pied de légume du jardin
Non, il faut le laisser pour en faire un « porte-graine » et là encore il faut avoir l’œil expérimenté pour savoir

Le Mandala & Potager de chez Milles Variétés Anciennes

#4 – Acheter du « bio » en pensant que ce n’est pas du F1
80% du catalogue bio sont des F1 [1] 

#5 – Récolter vos semences alors qu’elles se sont hybridées au jardin
classique avec les courges, et ça peut devenir toxique, il faut maîtriser quelques fondamentaux.

ETC. !

Dans la partie 4 de votre formation, vous verrez le sujet de la production des semences de A à Z !

Et c’est important… voici un exemple classique tout jardinier a dû vivre 😊

 

Une sexualité débordante, les coquines !

Les plantes appartenant à la famille des Cucurbitacées se croisent hyper facilement entre elles.
Que ce soit dans votre potager ou avec celui du voisin, surprises assurées si vous semez les graines de vos cultures. 


C’est arrivé à Marcel, qui a créé une nouvelle variété nommée la Patigette !

Marcel a semé dans son jardin ces 2 plantes :

Patidou

Courgette

Le malheureux, il pense qu’il ne craint rien car il a une seule variété de courgette au jardin.

Ce qu’il ne savait pas, c’est que les courgettes peuvent s’hybrider avec des non courgettes !

En fait, pour s’hybrider, les plantes doivent être du même genre, ou de la même espèce

C’est du chinois pour vous ? 

C’est pourtant essentiel en jardinage, ma formation Semences & Semis vous explique tout cela simplement, pour les 20 légumes du quotidien au potager. 

Résultat, le patidou et la courgette font des coquineries et Marcelle découvre son ovni : un mélange des 2, d’où le nom doux de la patigette.

Ses aventures n’en restent pas là

S’il voulait avoir des patigettes chaque année… pas si simple.
Pour fixer dans cette graine ce nouveau patrimoine génétique de la patigette, il lui faudra 6 à 7 ans de cultures, en éliminant de ces récoltes tous ceux qui ne ressemblent pas à l’OVNI, pour « fixer » la sa nouvelle variété.

Ici le cas ne risque rien, mais souvent les courges hybridées peuvent être toxiques, avec les courges ornementales par exemple.


Je vous conseille de vous former ! Des hybridations, il y en a tout le temps, mais rarement sues !

 

Je ne suis jamais allée aussi loin dans ce que je vous propose

Je me suis entourée des plus grands noms pour créer cette formation.

Voici ces hommes et ces femmes d’exception que vous découvrirez dans ce programme unique !

 

Cet homme a un impact sur votre vie, sans que vous le sachiez peut-être !

 

J’ai l’immense honneur d’avoir toute la confiance et la chaleureuse recommandation de Philippe Desbrosses en personne pour mon entreprise Saine Abondance, et ce nouveau Programme sur les Semences :

En réalité, vous le connaissez indirectement si :
vous mangez bio
vous mangez du potimarron

Car c’est lui qui est à l’origine des deux !!

Vous aurez accès à de rares vidéos de lui d’une valeur inestimable 

Philippe est un pionnier, un militant, un modèle !

Il a marqué positivement toute sa génération, et la France.

Pour celles et ceux qui ne le connaitraient pas, voici une liste non exhaustive des faits majeurs de son parcours :

  • L’un des pionniers de l’agriculture biologique certifiée en France 
  • Il a présidé la Commission nationale de ce label bien connu « AB » de 1983 à 2007 
  • Fils de paysan, sa famille se met dès 1969 à faire de l’agriculture biologique avant l’heure
  • Il crée de ses mains le tout premier conservatoire de semences de variétés anciennes qui fait référence dans le monde en entier, aujourd’hui il se nomme Mille Variétés Anciennes. Ils produisent eux-mêmes leurs semences et les vendent au grand public, plus de 1 500 variétés potagères sauvegardées grâce à eux
    (leur conservatoire de semence existe bien avant celui de Kokopelli)
  • Chargé de mission auprès du ministère de l’Agriculture et expert consultant auprès de l’Union européenne, il copilote un chantier du Grenelle Environnement dont l’objectif est le triplement des surfaces cultivées en Bio en cinq ans et l’introduction de 20 % de produits biologiques dans la restauration collective
  • Il est membre du comité de veille écologique de la Fondation Nicolas Hulot
  • Il crée en 1999 l’association « Intelligence verte » pour la sauvegarde du patrimoine génétique et de la biodiversité, avec des membres fondateurs de grande renommée.
  • Il est chevalier de la Légion d’honneur
  • Il est officier de l’ordre du Mérite agricole
  • Il est agriculteur, scientifique (docteur en Science de l’environnement), écrivain (plus de 13 livres sur des sujets d’urgence)

Bref… l’écouter, c’est gagner 50 ans d’informations choc que personne ne connait.

 

Philippe connaît bien Saine Abondance, il lit les infolettres, comme vous !

Son conservatoire de semences anciennes Mille Variétés Anciennes participe à ma revue mensuelle d’ailleurs, puisque son équipe d’expertes contribue chaleureusement à nos parutions. 

Lorsque je lui ai parlé de ce projet de formation Semences, il n’a pas hésité à participer, et il vous dévoilera des choses que le grand public ne sait pas encore !

 

Exemple choc, et ultra positif !

La Science se penche très récemment sur les bienfaits « prouvés » de ces semences libres, anciennes.

Un jour, Philippe reçoit un appel d’une employée du Ministère de l’Agriculture qui souhaite investiguer et prouver ce que Philippe (et d’autres militants pionniers) a toujours su :

La valeur nutritionnelle des semences anciennes, pour le sol ET pour les Hommes !

 

C’est le cas des « endophytes » = le microbiote des semences anciennes

Eté 2018, Philippe reçoit un coup de téléphone du Ministère de l’Agriculture, qui travaille sur les endophytes afin de pouvoir tester ses variétés ancestrales. 

 

Eh oui, voici le scoop, les graines naturelles sont comme les humains : elles ont un microbiote !

Et, sans surprise : les graines de laboratoire… n’en ont pas.

C’est comme faire naitre un bébé par les voies naturelles versus dans un milieu 100% aseptisé.
L’un est paré pour être résilient et puissant, l’autre pas du tout.

Et ce microbiote fantastique a un nom : les endophytes.

Si on filait une autre métaphore :

Les endophytes nourrissent les sols, et les sols sains nous nourrissent mieux ! c’est une réelle avancée 😊.

 

Concrètement, les graines avec endophytes sont la solution de notre Avenir :

Exemples :

Fertilité et santé des sols.
Aujourd’hui, les sols des terres d’agriculture conventionnelle s’appauvrissent tellement que les légumes auraient perdu la majorité de leur nutriments (minéraux, vitamines, oligo-éléments). Les graines F1 ne nourrissent pas les sols. Sans parler de la façon de cultiver (agro-chimique).

Goût d’antan, et rusticité
Les endophytes sont les responsables du goût, des saveurs du terroir, de leur grande richesse nutritionnelle. C’est pourquoi les semences anciennes ont le goût d’antan, pas de magie ! 

Meilleure alimentation et santé des humains.
Si nos sols sont en meilleure santé grâce à des semences qui ont encore leur microbiote, alors les cultures se porteront mieux, comme par magie, et l’alimentation de la population aussi.

 

Et d’autres bonnes nouvelles :

Les variétés anciennes de lupin pour fertiliser les terres gratuitement.

Le lupin a été anéanti par le soja. Vous savez cette plante qui brule l’Amazonie : « Si la déforestation continue au même rythme que ces vingt dernières années, près d’un quart de la forêt amazonienne qui subsiste encore pourrait disparaître dans les trente prochaines années, et 37 % dans les 50 ans à venir » [11]

 

Le lupin est d’une telle richesse, qu’il faut absolument le réhabiliter dans nos jardins et nos champs

Pour fertiliser sa terre, un paysan met entre 120/200/250 de kg d’azote à l’hectare… 

La bonne nouvelle c’est qu’une culture de lupin en amont peut laisser jusqu’à 500kg d’azote à l’hectare.

 

Encore mieux :

Le lupin n’en reste pas là !
Le lupin n’a pas « que » cette qualité de pourvoir un sol riche en azote , il fait partie des rares légumineuses qui mobilisent le phosphate dans le sol.

 

Quand on sait que nos gisements vont bientôt disparaitre, qu’1 hectare de lupin laisse 100 kg de phosphate à l’hectare et 80 kg de potasse sur les terres les plus ingrates…. Eh bien, on se dit qu’il y a plein de belles choses à faire pour réenclencher un cercle vertueux dans notre société. 

 

Bref, c’est une référence qui vous partage le fruit de toute une vie ! Il vous faut voir ses vidéos interview.

C’est simple, j’ai également contacté le Réseau Semence Paysannes pour ce projet, quant à la légalité sur les semences et leurs valeurs nutritionnelles, et leur retour est clair « vous travaillez déjà avec Philippe ? Ok alors vous avez tout ce qu’il vous faut sur ce sujet ! »


L’inventeur du potimarron, un succès international !

Qui ne connait pas le potimarron, de la douceur du marron et le goût du potiron ?

Eh bien des amis de Philippe lui font parvenir de l’ile Hokkaido au Japon quelques potirons de différentes couleurs.

Par hybridation naturelle dans son jardin de semences où il fait des tests, il se rapproche gentiment du potimarron qu’on connaît aujourd’hui.

Il lui faudra environ 7 ans pour « fixer » cette nouvelle variété si caractérise : petite, d’un orange intense, d’une peau fine, au goût si exquis dans les soupes !

Bêtacarotène : 2 fois plus dans le potimarron que les carottes

Pas étonnant qu’on s’en serve maintenant dans les cosmétiques, les petits pots de bebe, etc… 

 

Évidemment, encore aujourd’hui, c’est la fierté dans leur jardin de semence :

Vous serez formé par les experts n°1 en France sur la production des semences libres


Dans le programme que je vous propose, vous aurez l’immense chance de découvrir d’autres experts de taille : la fondatrice du premier conservatoire de semences anciennes en France ainsi que leur jardinière experte, en permaculture et en production de semences.

Je pense ici à Véronique Bonaventure et Isabelle Poirette, des femmes remarquables !

Dans leur ferme, elles forment les particuliers et les professionnels à devenir semenciers artisanaux et leur formation de 2 jours chez eux est géniale ! 

Avis aux jardiniers amateurs :

En suivant leur formation moi aussi, je peux vous garantir de leur sérieux, et de leur vérité lorsqu’ils disent qu’il faut absolument se former sur ce sujet avant de produire nos propres semences, même et surtout en tant que particulier pour le plaisir, et pour transmettre de vraies bonnes graines.

Ces experts ont accepté de participer à mon Programme de formation en ligne pour que ces savoirs et savoir-faire soient massivement vulgarisés, pour que cela soit simple et accessible au plus grand nombre.

Car savoir ce que l’on mange, et produire notre nourriture, est un droit pour chacun.


Vivez le jardinage à 360° !

Aujourd’hui, la plupart des jardiniers sont dans le court terme, à ne prévoir que la récolte des prochaines semaines, sans laisser une grande partie de leurs cultures monter en fleur :

– pour faire leur cycle en entier et se ressemer chez vous

– pour émerveiller les enfants :
Saviez-vous qu’un poireau en graine peut monter jusque 1m50 et fait des fleurs aussi grosses qu’une boule de pamplemousse ?

– pour augmenter la pollinisation grâce aux fleurs naturelles,

– et donc améliorer vos rendements jusque + 20% !

 

Le jardinier complet jardine autrement : de la graine à la graine

Il sait qu’en tant que jardinier, il a un rôle qui dépasse celui de son foyer.

Il sait que les premiers jardiniers d’il y a 2 000 ans sont ceux qui lui permettent aujourd’hui d’avoir une telle diversité de carotte, de pomme de terre ou de tomates. 

Il sait que la moindre de ses actions a un impact. Qu’il est le pont entre le passé, et le futur.

 

Je parie que les débutants n’ont jamais vus ces 6 plantes en fleurs…

Mais ce n’est pas tout !

 

Même combat pour vos fleurs et sublimes massifs ornementaux !

8 fleurs sur 10 proviennent de graines F1 ou OGM. [1]

Attention, ils meurent de famine en silence

Le problème de ces fleurs, c’est qu’elles ne produisent plus de nectar, ou très peu. [6]

Alors que les fleurs doivent nourrir nos papillons, nos abeilles et tous les autres pollinisateurs, elles deviennent des illusions.

Exemple : le tournesol !

Aujourd’hui, le Catalogue Officiel ne promeut que du tournesol F1 !
Le tournesol étant très cultivé en France, c’est vraiment une aberration car ce type de plante F1 produit très très peu de nectar, et donc il ne nourrit pas nos abeilles.

C’est vraiment grave !

Dans ma formation, j’accorde toute une section sur les fleurs sauvages, car même si vous n’avez pas de potager, vous avez sûrement quelques fleurs au jardin ou en pot.

À nouveau, j’ai pu m’entourer de l’experte n°1 en France sur ce sujet.


Son métier, « Conseiller aux agriculteurs de semer des fleurs et des arbres »

Vous aurez l’immense chance de découvrir les conseils de terrain de cette experte en lutte biologique.

En gros : comment utiliser les plantes et les insectes pour supprimer l’usage de pesticide au jardin, ou dans les champs.

Experte en entomologie, l’étude des insectes, elle s’est renseignée sur le rôle des pollinisateurs (qui sont majoritairement des insectes en réalité).

Ces informations sont peu connues, et vous pourrez en bénéficier pour participer à sauver la biodiversité de votre région !

Vous découvrirez dans cette partie fleurs sauvages :

– Mon carnet d’adresses de producteur de semences libre de fleurs, sauvages encore mieux !

 

– La liste mensuelle des plantes relais, celles qu’il vous faut planter pour faire de votre jardin un gîte à biodiversité, qui dope vos rendements en plus.

 

– Des conseils inédits !

Mais ce n’est pas tout !

 

Découvrez les coulisses du maraichage permacole en France, une première !


Découvrez le parcours époustouflant d’Antoine en Loire, âgé d’à peine 24 ans

Quand on s’intéresse à ce qu’on mange au point de vouloir en produire une partie, on se pose plein de questions :

– Agriculture,

– Maraichage

– Jardinage

Comment ça se passe en réalité ?
Y a-t-il des initiatives positives, des choses qui changent en faveur de la permaculture


La réponse est OUI, vous découvrirez son exploitation qui est un OVNI !

Chez lui, on entend les poules gazouiller à côté de ses planches de cultures, les grenouilles plonger dans leur mare, et les rires de bénévoles qui viennent spontanément frapper à sa porte pour passer quelques heures l’aider, ou se ressourcer dans ce havre de paix.

SES-Frogs

Antoine est un ingénieur horticole, qui a travaillé à l’INRA avec les experts sur les semences

Jeune papa, et attaché à une nourriture de qualité, il a cofondé une exploitation de maraichage qui fait rêver tous ses voisins parce que ses premières années donnent des résultats ultras encourageants pour tous ceux qui veulent vivre leur rêve de produire mieux, tout en se payant bien !

Antoine est d’une sagesse et d’une pédagogie époustouflantes, il répondra à toutes les questions des jardiniers amateurs, et chevronnés !

 

Il n’existe aucune autre formation en ligne de ce genre

 

Ce programme est un OVNI tant il est complet :

Société – alimentation – jardinage – semis – production de graines – botanique – juridique

 

C’est le fruit d’un travail minutieux de longue haleine :

  • J’ai mené une enquête de terrain, 
  • J’ai lu les ordonnances légales, 
  • J’ai rencontré différents experts et acteurs pour avoir une vision 365°

 

Oui les choses vont mal, mais OUI vous pouvez agir !


Une chute en roue libre :

En 75 ans, on a perdu 80% des semences potagères de nos ancêtres [3]

Non les carottes ne sont pas toujours oranges, et les fraises rouges !

Pourquoi vous ne connaitrez jamais la carotte de vos grands-parents :

En 1900, ils cultivaient 7 fois plus de variétés de carotte qu’aujourd’hui (selon le catalogue du semencier Vilmorin de l’époque), ils en avaient plus de 46 !

En 2014, on est passé à 6 en France, et seulement une variété en Inde ! Et vous vous en doutez : des variétés clonées.

Encore pire

Dans les 20% qui nous restent, plus de 80% sont des semences qui ne sont plus libres de reproduction, elles viennent du Catalogue. »

En 2 mots, ce Catalogue officiel né en 1932, et réellement appliqué 20 ans plus tard vise à créer un marché (et des supermarchés) de consommateurs :

– Des semences clonées pour des productions calibrées, toujours identiques, et surtout qui se conservent longtemps (vu la mondialisation et les transports)

 

– Des semences qui deviennent juridiquement comme de la musique : des semences privatisées qui donnent lieu à des royalties et des brevets !

 

– Ou digne de science-fiction : des plantes rendues stériles comme le maïs Terminator ! [7]

 

On marche sur la tête…

Ce qui n’est pas normal, comme le souligne avec brio la célèbre avocate Blanche Magarinos Rey, qui aide les semenciers libres à défendre leurs droits, comme les plus connus sûrement, Kokopelli.

Le poids des lobbies…. Alerte !

Un pas en avant, un pas en arrière, de quoi devenir fou.

Mais depuis l’été 2020 tout semble possible.

1 dessin vaut mieux que 1000 mots :

Un Catalogue ou une dictature ?

Aujourd’hui, 80% des semences du Catalogue sont en fait des semences F1, donc privatisées, clonées, non nourricières pour le sol, non soumises à des tests de toxicologie (pour voir les impacts sur la faune et la flore de telles semences pesticidées in vitro).

– Prenons le maïs : dans l’édition 2020 de ce catalogue, 95% des variétés de maïs mis à disposition pour nos agriculteurs sont des F1. (oups !)

 

– Concernant le melon, au contraire, en 1979 il n’y avait que 5 variétés F1 de melons contre maintenant 249 variétés F1 de melon…

Un vol de propriété savamment orchestré ?

Encore pire, l’ensemble des graines du monde se retrouve entre 4 murs au Nord dans la Norvège dans une sorte de bunker glacial.

Les portes s’y ouvrent 4 fois par an, pour recueillir les graines de variétés anciennes de chaque endroit du monde.

Une arche de Noé végétale ? Hhmmm, pas vraiment !

On l’a vu, les semences doivent vivre dans un sol (en dormance, ou cultivées) pour être réellement utiles et adaptées au climat actuel.

Je cite d’ailleurs le 1er chef de culture qui accompagnait Philippe Desbrosses lors de leur conservatoire de semences anciennes : 

« Les plantes vivent dans les sols et meurent dans les conservatoires »

…il ne s’agit donc pas de les garder à jamais dans des conservatoires ou chambres froides car elles ont des durées germinatives limitées (2, 3 ans pour un persil, 3 ans pour une carotte.)

 

Un mouroir mondial pour mieux toutes les breveter ?

Du coup, les mettre dans des tiroirs glacés et ne jamais les replanter, ça n’a pas de sens… à part pour mieux cloner leur gène, et hop voilà ils peuvent en faire légalement des F1 ou OGM et tutti quanti. 

Ça glace aussi le sang, on est d’accord, mais bonne nouvelle : tout peut changer.

 

En réalité, la main verte dépend du type de semence, pas de vous !

Du bon sens oublié :

Une graine c’est grosso modo 2 choses :

– La promesse d’une abondance, à l’infini.

– Une adaptation à son milieu, à l’infini aussi.

Concrètement, les jardins d’avant 1950 vivaient ce cercle vertueux :

Une graine de laitue locale, par exemple (qu’elle soit originaire de la région ou pas, ce qui importe c’est qu’elle y est cultivée depuis au moins 2 ans dans votre région, donc bien adaptée).

Cette laitue, si on ne la récoltait pas, on récolterait ses graines, jusque 30 000 graines par pied, jackpot pour des dizaines de futures années d’autonomie, en salade du moins 😊!

Et comme elle est adaptée à la région : zéro stress si canicule ou orage imprévus, elle a du vécu, elle en a sous la pédale : elle saura activer certains gènes pour faire face.

 

Mais depuis la seconde guerre mondiale, on formate les jardiniers à un cercle vicieux.

Des graines de laboratoire (F1, OGM, clonée…) comme si c’était des vraies graines.
De vraies graines Kleenex oui !

L’image est choc, mais c’est voulu, mettre en terre ce genre de graine est une absurdité, c’est comme envoyer des enfants… au front ! Elles sont les victimes des premières « attaques » de son mieux : type de terre, manque d’eau, mildiou, température etc… 

En 1 année, elle n’a pas le temps de s’adapter.
Alors on vous vend l’arsenal de béquilles, comme par hasard, pour la maintenir en vie : engrais, et tout ce qui finit en « -cide ».

Et puis, on nous oblige (agriculteur) ou nous formate (jardinier) à racheter des graines chaque année. Euh… aucun bon sens. Encore pire, on vous faire croire que vous êtes nul, pour mieux vous vendre des aides.

Au contraire, avec des graines libres, et locales, on a tous la main verte, car c’est la graine adaptée qui fait t-o-u-t.

En tant que consommateur et jardinier, nous avons tous un double pouvoir. Le voici :

 

Ma formation vous outille :

– Ce qu’il faut savoir, pour faire les bons choix (achat fruit/légume, ou achat semence)

 Ce qu’il est possible de faire, au jardin ou en pot 

Comment ?

En maîtrisant le sujet des semences et des semis, pour vous mettre sur la voie de l’autonomie.

Cela pourrait pallier ces problèmes :

– Les semis qui ne lèvent pas 

– Les plantes qui poussent mais mal, et qui ne résistent pas aux premières intempéries ou les nouvelles conditions (canicules, orages…) 

– Les légumes du supermarché qui n’ont pas de goût, et qui pourrissent ultras rapidement alors qu’ils étaient tout beaux la veille 

– Une assiette appauvrie !

La preuve :

 

– L’homme préhistorique consommait une diversité de plus de mille plantes.
En Égypte ancienne, on a des traces de plus de 500 légumes différents dans les parcelles.

– Mais aujourd’hui, dans le monde, seule une trentaine de plantes sont cultivées pour nourrir 95% des besoins. [8]


Au contraire, vous pouvez investir dans un stock de variétés anciennes, libres de droit, et vous réappropriez votre Vie, votre survie !

Et pourquoi pas, produire une partie de vos graines, je vous guiderai de A à Z !

 

Pour le plaisir, pour les économies, pour un jardinage simple et pérenne, pour la biodiversité :

Découvrez ma nouvelle formation :

Voici pourquoi c’est le meilleur moment d’en bénéficier MAINTENANT :

  • Jardinage 

Peu le savent, mais la saison froide est le meilleur moment de démarrer un tas de semis (soit plantation sous serre, soit futurs plants pour des récoltes de printemps anticipées).

Exemples de semis d’hiver : épinard, mâche, laitue, fève, pois, carotte primeur, et même des tomates, aubergines ou courgettes !

  • Production de vos semences

La première étape c’est l’observation, pour repérer les plants « warrior », ceux qui survivent à votre jardinage, et votre climat. 

Cet hiver, guettez bien ceux qui résistent au gel, aux premières neiges, et surtout ne les récoltez pas : laisser monter en graines faire leur cycle complet pour en récolter les précieuses graines.

  • COVID-19 / société

Cette situation mondiale nous montre les limites de la mondialisation et la fragilité des sociétés humaines. Plus que jamais nous devons retrouver notre indépendance alimentaire, à l’échelle d’un pays, mais aussi en région et entre voisins, au moins pour les légumes frais (pas les céréales où c’est plus compliqué). 

  • Un tournant dans la législation semences libres 

Depuis l’été 2020, la législation n’est pas revenue en arrière sur sa loi permettant aux semenciers de semences libres d’exercer légalement. 

Si une majorité de citoyens se forment avec mon Programme, et en informe ses voisins, ses élus locaux etc., les autorités verront que les citoyens se mobilisent en masse pour approuver et approfondir ces combats de semences libres – un patrimoine commun de l’Humanité à préserver des lobbies.

  • Au coin de la cheminée 

Avec plus de 30 vidéos et 60 PDF, vous pourrez suivre à votre rythme ce Programme inédit pour vous former avant le retour des beaux jours. 

De quoi préparer avec efficacité votre rêve d’autonomie, de manière réaliste, et en conscience.

 

Soyez fier de vous !

Vous connaissez l’effet papillon ?

C’est un météorologue qui nous lègue cette expression si juste pour montrer que tout est relié dans le monde, et qu’un battement de papillon au Brésil peut provoquer un ouragan au Texas…

 

Eh bien pour les graines, c’est pareil. 

Vraiment, chaque graine semée est un acte d’une puissance inouïe.

 

Les graines sont comme les gouttes d’eau : elles peuvent former un océan :

– D’abondance, si on sème les graines libres, appartenant au droit commun

– Ou de rareté, si on sème celles de l’industrie, appartenant aux lobbies, une dizaine d’hommes sur plusieurs milliards d’habitants


Une fois que vous serez formé dans ce Programme choc, vous saurez comment agir.
Et votre action a un poids incommensurable que vous n’imaginez même pas !

 

Rien qu’en France, il y a PLUS de jardins privés que de parcs naturels

En additionnant tous les jardins des Français, on arrive à plus d’un million d’hectares [9]

C’est juste…, énorme, c’est 4 fois la superficie totale de toutes les réserves naturelles !!

Nos jardins ont réellement un grand rôle à jouer dans la préservation de la biodiversité, en commençant par des semences libres dans nos parcelles.

 

Ne doutez jamais qu’une poignée d’humains peuvent changer le monde, en réalité, c’est toujours ainsi que cela s’est passé

Regardons en Inde :

– Avec leurs promesses de la « Révolution Verte », les multinationales chimiques ont fait de ce pays un test à l’échelle d’un pays. Graines F1 en masse, endettement des paysans. De New Delhi à Bangalore, les marchés ne proposent que la même espèce de tomate !

 

– Plus de 200 000 suicides en 10 ans [10] parce que les petits paysans ne peuvent pas racheter chaque année les graines F1

Et pourtant, face une telle violence extrême, une seule femme s’est levée et change la face du monde.

Cette femme, c’est Vandana Shiva.

Une scientifique, Docteure en physique quantique, née aux pieds de l’Himalaya, qui a réussi à contrer Monsanto :

– Elle plaide dans les plus hautes instances européennes pour lutter 

– Elle aide les associations telles que Kokopelli ou le Réseau Semence Paysanne

– Elle distribue des graines libres en Inde et forme les femmes à redevenir libre


Tout devient limpide et urgent quand on comprend cela :

Les semences de nos récoltes, ou des légumes de notre assiette sont l’héritage de nos ancêtres normalement.

Les premiers humains ont croisé les plantes sauvages pour nous léguer des variétés naturellement fixées, saines et abondantes. (Les plantes à graines sont apparues très récemment, ce qui a permis de nourrir les Hommes, comme en attestent les découvertes de scientifiques en analysant Lucy, l’ancêtre de l’Homme)

 

Quand vous tenez UNE seule graine dans vos mains, en réalité…

Vous tenez le condensé de l’Histoire de la Terre : c’est à la fois le passé, le présent et le futur.

C’est ce qui nourrit les sols, les insectes, les herbivores, et les carnivores.

Les graines sont à la pointe de la technologique que la NASA n’arrive toujours pas à comprendre.

Ce sont de mini logiciels qui contiennent en elles toutes les données du passé, et du futur.

 

À une seule condition : être vivante dans nos sols, de manière libre, pour perpétuellement s’adapter.
D’autant plus aujourd’hui avec les changements climatiques…

 

L’an prochain, faites ce cadeau inestimable à vos descendants :

Au lieu de léguer des bijoux de famille, léguez des graines de famille.

Cela a vraiment plus de valeur pour leur futur, car sans graine libre et naturelle, c’est un monde de pénurie… dont nous subissons déjà les premières conséquences.

 

Prenons conscience du rôle mondial du jardinier : 

C’est lui qui créé la biodiversité, et surtout celle de demain.
Ce sont aux jardiniers collectionneurs et militants de jadis, à qui nous devons le innombrables variétés actuelles de courges, de tomates etc… qui ensuite ont été transmises à des musées ou conservatoires, 

Avant d’arriver dans les griffes du Catalogue officiel qui brevète ce patrimoine commun pour faire des graines kleenex avec de juteuses royalties.

Mais à la base il est question de 10 doigts, qui peuvent être les vôtres, ou ceux de vos ancêtres !


Récapitulons-nous

Vous devez savoir.
Vous pouvez agir.
Vous devez transmettre.

Voici ce qu’on peut souhaiter à tous : semence, semis et autonomie
Pour ne plus se faire arnaquer, et savoir ce que l’on met dans notre corps, et dans les veines de nos enfants.

 

Voici comment rejoindre ce Programme :

✔ Tout savoir sur les bonnes semences

✔ Maîtriser les semis de A à Z

✔ Savoir produire vos propres semences !


Concrètement, comment cela va se passer ?

En souscrivant à ce Programme, vous obtiendrez dans votre email de confirmation votre accès confidentiel pour accéder immédiatement :

– À une plateforme vidéo accessible à vie 

– Contenant votre formation en 5 parties !

– Je vous livre 1 partie par semaine

– Chaque partie contient des PDF d’accompagnement complet, et des vidéos professionnelles ! 

– Au total, 60 PDF récapitulatifs, et 30 vidéos 


Vos bénéfices jardinage :

– Des plantes qui poussent mieux, plus vite, qui résistent aux maladies, car elles sont adaptées pour chez vous 

– Qui sont beaucoup plus goutues qu’ailleurs !

– Des économies (au lieu d’acheter des semences chaque année, et des plants !)

– Un jardin qui s’améliore d’année en année, au lieu de repasser par la case départ à chaque printemps

– L’assurance d’avoir la main verte immédiatement (bonne graine adaptée + semis maîtrisé)

– L’autonomie du jardinier avisé en reproduisant une partie de ses récoltes de manière sécurisée et sans erreurs !

Vos bénéfices alimentation :

– La santé passe par une alimentation saine, variée, équilibrée avec une richesse en nutriments variés, et quoi de mieux que les semences libres et anciennes pour nous apporter les nutriments d’antan !

 

– En faisant les bons choix d’achat de fruits et légumes ou de semence, vous créez un cercle vertueux pour votre santé. Les graines naturelles sont comme nous : elles ont un système immunitaire, un microbiote, une richesse interne. Plus elles sont naturelles, plus elles nous nourrissent vraiment. Contrairement aux plantes chimiques qui sont gonflées d’eau…


Vos garanties sur cette formation :

  1. Il n’y aura pas de blabla, ça sera vraiment des choses utiles à savoir, et clés en main pour agir.
  2. Si pour la moindre raison vous n’en étiez pas satisfait, ou si vous avez un imprévu, vous n’aurez pas à vous justifier et vous pourrez me demander le remboursement intégral durant 14 jours à compter de la date de votre commande :

Le prix du Programme :

Fixer un prix à cette formation essentielle a été très difficile, elle est d’une valeur inestimable !

C’est littéralement vous former pour vous réapproprier votre autonomie grâce aux semences.

Toutefois, pour garantir le juste prix pour rémunérer tous les experts qui ont contribué à cette formation, pour tous ceux qui m’ont aidé à les transmettre de manière professionnelle et pédagogue (vidéaste, graphistes, illustrateurs…), le coût normal de cette formation est de 200€, accessible en paiement en plusieurs fois.

Toutefois, vous n’aurez pas à payer ce prix-là puisque vous bénéficiez d’un tarif de lancement exceptionnel ce mois-ci :

  • Le paiement se fait en 3 fois (CB, ou SEPA), sur 3 mensualités.
  • Vous avez une garantie satisfait ou remboursé les 14 premiers jours à compter de votre achat
  • L’accès à la plateforme est immédiat

Bonne nouvelle !
200€ => 3 mensualités de 49€

MAITRISEZ LA BASE DE VOTRE AUTONOMIE ET DE VOTRE SANTÉ : LES SEMENCES

Je suis extrêmement fière et heureuse de vous proposer cette formation.

Vous avez tout à gagner, ne laissez pas passer cette opportunité.
Vous bénéficiez de votre garantie satisfait ou remboursé
(14 jours à compter de la date de l’achat)

 

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✔ Tout savoir sur les bonnes semences

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Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas à m’écrire via ce formulaire de contact.

 

Il est temps de prendre soin de vous,
Florence

Saine Abondance


Sources :

[1] Propos validé par Frédéric Latour, salarié du Réseau des semences paysannes

« En bio, on trouve essentiellement des semences commerciales et hybrides. Le cahier des charges bio ne porte pas sur les semences, mais sur leur mode de culture. 80% des semences bio au catalogue sont hybrides ou de lignées pures, à savoir des clones. C’est la réalité aujourd’hui, » regrette Frédéric Latour.

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/8958/reader/reader.html#!preferred/1/package/8958/pub/12482/page/8

https://www.femmeactuelle.fr/deco/deco-d-exterieur/contre-pesticides-bonnes-graines-semences-paysannes-2016533

 

[2] Normalement, j’avais toujours cru qu’ils ont l’obligation de stipuler « F1 » ou « hybride » sur les sachets de graine, mais j’ai appris durant mon stage semence chez Mille Variétés Anciennes qu’apparemment, depuis les polémiques sur le sujet F1 dans le grand public, les semenciers ne sont plus obligés de le stipuler pour une certaine quantité, en respectant un seuil de poids.

 

[3] http://www.fao.org/3/V1430f/V1430F04.htm 

[4] C’est le principe des graines inscrites au Catalogue Officiel : elles y sont inscrites par quelqu’un qui en est devenu propriétaire, pour une durée de 10 ans renouvelables jusque 25 ans, puis elles passent dans le domaine public. La détention de propriété sur la semence implique pour son propriétaire des royalties, et pour celui qui les utilise une stérilité juridique puisqu’il n’a pas le droit de les réutiliser dans son champ, il doit racheter des semences du Catalogue.

[5] Il y en a des tas, je vous recommande en particulier :

Le documentaire « La semence dans tous ses états » de Christophe Guyon
Le documentaire « La guerre des graines » de Clément Montfort et Stenka Quillet

Je pense créer un article de documentaires à recommander sur ce sujet, à poster sur mon site web. Si vous avez une liste de documentaires sur l’enjeu des semences que vous recommandez, n’hésitez pas à m’écrire via ce formulaire de contact

[6] Propos validé par Johanna Villenave Chasset, experte en entomologie et lutte biologique. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet, je l’ai interviewée dans une de mes vidéos sur la chaîne YouTube de Saine Abondance 

[7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Terminator_(g%C3%A8ne)
https://www.infogm.org/1439-OGM-Terminator-enjeux-sterilite-programmee 

[8] Ouvrage majeur que je recommande : Le plaisir de faire ses graines, de Jérôme Goust

[9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin
http://noe.org/tout-sur-noe/a-propos-de-noe/histoire-dhier-a-aujourdhui/ 

[10] documentaire « La guerre des graines » de Clément Montfort et Stenka Quillet

[11] https://wwf.be/assets/RAPPORT-POLICY/MARKETS/FR/le-boum-du-soja-version-longue-bd-1.pdf

CGV