FAITES SUR MESURE POUR :

 

Les vrais jardiniers du 100% naturel, et amoureux de polar !

Ceux qui veulent jardiner cette saison avec les insectes pour créer un potager ultra résilient.

Les familles en quête d’activité nature, gratuites, au quotidien, alors suivez mes enquêtes biodiversité.

 

ICI MODE D’EMPLOI
pour prendre soin de vous et de la nature
de manière… inédite !

 

Cette année, ne faisons plus l’impasse
sur les plantes sauvages, les « mauvaises herbes » et les insectes auxiliaires
à associer d’urgence au jardin et à observer sans modération

Découvrez ici la meilleure solution gagnant-gagnant pour augmenter vos récoltes à vie
Et avoir un jardin qui s’autorégule en moins de 6 mois !

Et si vous n’avez pas de jardin,
pour tout simplement vous émerveiller et savoir lire (et écouter !!) pour la première fois
la partition de la grande symphonie de la nature

100% inédit.

Cette année, c’est la récolte d’une autre abondance !

 

Chère lectrice, cher lecteur,

Quel bilan faites-vous de vos années de jardinage ?
Quels sont vos nouveaux objectifs ?

 

Comment retrouver cette âme d’enfant qui récolte l’abondance en permanence autour de lui, aujourd’hui ?

C’est d’ailleurs un principe permacole fondamental, faire des contraintes des opportunités, des ressources.

Diable, comment faire ?!

 

J’ai trouvé une solution surprenante en menant… une enquête au fond de mon jardin !

Que vous ayez un jardin, ou un parc, un champ, un coin de nature à proximité de chez vous, vous pouvez mener cette investigation vous aussi !

Je me suis baladée avec une loupe, beaucoup de temps à passer au jardin, l’interdiction de pouvoir voyager. Alors j’ai voyagé au potager !

 

Sous ma loupe j’ai compris que :
La santé de mon potager fonctionne comme celle de mon corps.

 

C’est un tout !

Même l’OMS définit la santé ainsi « La santé n’est pas l’absence de maladie » mais « un état de complet bien-être physique, mental et social ». [3]

 

Pour la récolter, il « suffit » de s’émerveiller de ce qui est déjà là, mais qui était invisible jusqu’alors !

Comme un enfant : plante sauvage, bavure, trace mystérieuse, drôle de motte de terre, feuille égratignée, j’ai tout regardé comme si de rien n’était.

J’avais l’impression de les voir comme lorsque j’étais enfant, et que je ne comprenais pas bien les panneaux donnant des indications aux voitures. (J’ai d’ailleurs toujours cru que le panneau « attention verglas pour les voitures » indiquait un bonhomme avec un drôle de chapeau).

 

Mais nous les adultes, nous avons perdu cette faculté, même au potager naturel…

Maintenant que nous savons « lire », nous avons perdu la faculté de « voir ».
Comme si on voyait en 2D au lieu de la 3 dimensions…

 

Sous ma loupe j’ai compris que :
Mon jardin me susurrait « aide-moi à devenir un écosystème » mais que j’étais sourde !

 

Je pensais qu’il allait bien, car plein de choses vont bien.

Mais j’ai accepté quelque chose comme « normal », alors que cela ne l’était pas.

C’était au contraire un signe d’une faille d’un écosystème affaibli.

 

NON ! ce n’est pas normal

La plupart des jardiniers (avertis comme débutants) acceptent comme un mauvais sort les ravageurs et les maladies du potager.

 

Comme si c’était « normal » d’avoir systématiquement un rhume aux changements de saison.

Comme si c’était « normal » d’avoir un pic de ravageurs au jardin plusieurs fois par an.
Non, c’est plutôt le signe d’un système immunitaire bas, d’un écosystème affaibli.

 

Sachant que tous les êtres vivants vivent en écosystème, tout est interdépendant, tout est relié.

Pour le meilleur, comme pour le pire.

 

Sous ma loupe j’ai compris que :
L’importance et la saveur de récolter chaque jour la santé et le bien-être
sans avoir à jardiner, en étant simplement autrement au jardin, ou dans un coin de verdure.

 

Cette cueillette est déjà là, oui sous vos pieds, mais personne ne la cueille ou presque !

Alors en ce début d’année, je suis hyper fière et heureuse de pouvoir vous présenter l’aboutissement de plusieurs mois de travail, pour vous donner un nouvel outil vital :

Commençons par quelques conseils de jardinage

 

Votre potager a eu la vie dure ces derniers temps ?

On vous a « volé » trop de récoltes ?
Mauvaise météo, maladies, ravageurs ?
Cette rançon du succès n’est PAS obligatoire.

 

Bonne nouvelle

Ne faites plus partie des jardiniers qui vivent avec l’épée de Damoclès prête à tomber à tout instant pour ruiner leurs jardins, leurs efforts, leur motivation.

 

Face à ces ravages, 2 types de jardinier :

  • Celui qui pense que c’est normal, naturel, et qu’on ne peut rien faire
    « c’est la nature »
  • Celui qui pense que c’est la transition naturelle de son jardin (par exemple, en permaculture, bien pailler la première année amène un pic de limaces)
    « c’est la perma’ »

En réalité, « laisser faire » la nature est assez bisounours.
Car encore faut-il réussir à ne rien faire, et le faire bien.

Ce que j’ai compris bien des années plus tard…
Découvrez-le aujourd’hui !

« Oui… mais, »

Oui la nature finit toujours par s’autoréguler.

Mais soyons honnêtes : elle le fait sur plusieurs années voire des siècles.

La temporalité du végétal n’a pas le même tempo que la courte vie des hommes et du jardinier, qui veut des résultats rapides même dans un jardin permacole.

Un potager va devenir un écosystème tout seul en passant par l’état de friche puis de taillis, pour tendre vers la forêt comme n’importe quel coin de terre, au bout de 15 ans minimum.

 

L’arroseur arrosé, comment trouver le meilleur compromis ?

Le jardinage naturel est la bonne voie, mais son (lent) cheminement peut décevoir :

  • Pic de limaces
  • Mildiou
  • Pucerons, charançons, teignes, mulots, et j’en passe !

Le potager permacole : guerre ou paix ?

Une amie me disait récemment « Le jardin devient vivant, mais un peu trop… ! »

Comment réguler ces « ravageurs » ?
Comment augmenter mes récoltes sans attirer ces ravageurs ?

Voici d’ailleurs un extrait de mon dernier sondage sur le sujet :

Extraits du sondage

Oui, il existe une solution 100% naturelle

qui permet d’accélérer la constitution de l’écosystème du jardin, son autorégulation, son rendement, son bien-être, celui de sa faune et de sa flore.

Cette solution doit être mise en place toute l’année, avant, pendant et après vos cultures.

Cette solution c’est le coup de pouce que réclame votre jardin si vous sentez qu’il n’est pas encore 100% autonome.

Vous rêvez d’une abondance de fleurs, d’insectes bénéfiques, du chant des oiseaux, d’apercevoir des hérissons, des tritons et salamandres, des taupes (mais pas en plein potager) et que ce joyeux monde s’autorégule magiquement comme dans une prairie ?

Le tout facilement, rapidement, ultra bénéfique pour la nature et pour vous ?

Et bien maintenant, c’est le bon moment, suivez les astuces révélées ici.

Voici la solution de cette année :
Oubliez vos cultures, votre plan de culture, et rangez vos outils.

Il y a bien plus urgent, et c’est le meilleur moment :

Ce mois-ci, découvrez la puissance des plantes sauvages et des insectes auxiliaires du jardin à allier aux potagers, aux pelouses, aux haies, aux massifs ornementaux et sur les balcons.

Ce mois-ci, découvrez comment activer et pérenniser la santé de vos jardins, pour :

  • Doubler vos récoltes dès le printemps
  • Augmenter la pollinisation de vos fruits et légumes
  • Diminuer les ravageurs et les maladies du jardin « sans rien faire » ni rien acheter (aucun produit, même naturel)
  • Aérer votre sol et l’augmenter en humus (je ne parle pas du paillage)
  • Attirer, accueillir, nourrir et loger vos alliés pour leur déléguer le travail !

Ce mois-ci, concentrez-vous sur ce qui manque cruellement à tout jardin :
une biodiversité fonctionnelle.
La base d’une santé épanouie au jardin.

 

Et ce qui manque cruellement à tant de bons jardiniers passionnés :
leurs regards d’enfant face aux bestioles et imprévus du jardin !

Super !! Comment faire ?

Suivez le guide.
Je suis sur le point de vous présenter ma nouvelle revue mensuelle pépite :

Mais mieux vaut un exemple que 1 000 mots.

Biodiversité « fonctionnelle » vous avez dit ? Qu’est-ce donc ?

Voici ce que cela veut dire, cas concrets chez Marc et Odile !

Odile est à 2 doigts de tout arrêter

Elle n’utilisera jamais de produits chimiques, c’est contre ses valeurs (et elle a bien raison), mais franchement son jardin lui cause plus de peines que de joies :

Marc, lui, a testé la biodiversité fonctionnelle depuis moins de 6 mois et les résultats sont déjà… incroyables.

Voyez par vous-même, son jardin s’auto-régule vraiment : »

La preuve, il s’amuse à planter chez lui les choux infestés de piérides de ses voisins dès qu’il le peut

Pourquoi une telle diablerie ?!

Il est allé déraciner chez son voisin un pied de chou littéralement infesté de piérides.

Il l’a placé chez lui, dans son potager idyllique. Entre le basilic et les courgettes.

 

Une guerre sanglante se prépare

Les piérides du chou adopté contaminent par les airs, par le sol, par les tiges toutes les plantes voisines et saines du chou pestiféré fraîchement installé !

 

Est-il fou ? Non, il a tout compris :
(même si c’est un brin provocateur)

  • Il sait qu’en moins de 10 jours, son armada d’auxiliaires va rétablir la situation
  • Et il sait que ce chou infesté va servir de gîte et de couvert à ses alliés
  • Il a un regard enfantin, amusé.
  • Il sait qu’il a une biodiversité fonctionnelle !

La preuve :
en moins de 10 jours, le chou infesté a perdu ¾ des ravageurs qui le recouvraient….

En moins de 15 jours, c’est un chou TOTALEMENT SAIN et comme neuf, qui peut vivre une 2ème vie dans son potager !

Comment Marc a-t-il fait ?

Il ne s’est pas contenté de planter de la tanaisie ou autres fleurs qui attirent les insectes.
Il ne s’est pas contenté de créer une petite mare et des perchoirs, conseils qu’on peut trouver un peu n’importe où pour favoriser une biodiversité.

Il n’est pas « passif » face à la biodiversité de son jardin qui lui a sauvé la mise, une fois de plus.

Il sait la favoriser, il sait la décrypter.
Il sait qui elle est, pourquoi elle est là, et quand/comment compter sur elle.

Marc sait se servir de cette biodiversité comme un outil, ponctuellement

En fait, il utilise souvent des pieds infestés pour les déplacer au jardin selon les besoins.

Il connaît le concept des « plantes relais », ces plantes spécifiques dispersées avec stratégie dans le jardin, pour accueillir et nourrir vos alliés, les insectes auxiliaires, qui vont par la suite se charger de dégommer vos ravageurs.

Découvrez immédiatement mon dossier cadeau sur les « plantes relais » pour tout savoir sur cette stratégie 100% naturelle pour utiliser

  • Les plantes relais
  • Qui sont-elles ?
  • Où les installer dans le potager ?

Marc n’a pas seulement mis des plantes relais chez lui.

Il sait lire ceux qui les habitent !

 

Il a appris à VOIR et à lire ce qui se passait sur ses tiges, ses feuilles, ses plantes.

Il a appris à observer, et à décrypter la biodiversité.

En fait, il sait désormais voir 100% du jardin, lorsque d’autres ne voient que les plantes potagères, soit 30% du potager.

Cette année, vous aussi gagnez cette compétence ultime du jardinier serein, du citoyen heureux et connecté à la nature !

Et au jardin, ne soyez plus la victime ET le bourreau

Ce constat revient chaque année, vous pensiez bien faire et pourtant…

Quelques exemples classiques :

  • Vous avez envoyé un carton d’invitation aux ravageurs (escargots, mildiou, mulots…) sans vous en rendre compte bien évidemment, et eux ils sont arrivés, bien poliment se croyant désirés par un boulevard de jeunes cultures sans prédateurs…
  • Vous avez tué vos alliés sans le savoir, c’est souvent le cas, au compost par exemple, lorsque vous confondez ces larves :
  • Ou encore pire, vous tuez tout sur le passage. Oh, je ne pense pas qu’aux produits chimiques non spécifiques, certains « remèdes de grand-mère » qui sont des solutions naturelles ne sont pas pour autant recommandés. En gros ça revient à utiliser une bombe (naturelle ou chimique) pour tuer un moustique… et donc de tuer le jardin au passage aussi.

Si bien que le « problème » ce ne sont pas tellement vos ravageurs, mais plutôt « vous ».

Oh je ne vous culpabilise pas, j’ai fait toutes ces erreurs aussi.

En fait, il est presque impossible de faire autrement tant qu’on n’est pas formé.

Et puis c’est tellement le Far West sous vos pieds !

wanted_insectes

Un monde inconnu du grand public, et des jardiniers bien intentionnés.

Alors qu’on le foule tous les jours, et qu’on le travaille pour nos cultures, on ne sait pas bien qui habite notre sol et nos plantes.

Pourtant, 50% de toutes les espèces vivantes décrites par les scientifiques sont… des insectes.

On trouve de tout… Il vous faut savoir avec qui nouer des pactes :

  • Certains insectes sont vos alliés.
  • D’autres vos pires ennemis.
  • Et certains permutent d’alliés à ennemis au cours de leur vie, ou vice versa…
  • Et au sein même de familles d’insectes, toutes les espèces ne sont pas forcément vos amies.

Prenons le cas de la famille des tachinaires :

Ces insectes volants qui ressemblent aux mouches dont on dénombre plus de 620 espèces.

Eh bien parmi ces 620 espèces seules 30 sont utiles pour le jardinier, pour protéger ses cultures. Elles ressemblent à des grosses mouches colorées (attention à ne pas les confondre).

Il faut donc apprendre comment trier le bon grain de l’ivraie lors de vos observations au jardin.

Justement, maintenant, c’est le meilleur moment pour vous former, pour vous émerveiller, pour prendre soin de la vie !

✔︎ Mine de rien, le printemps arrive à grands pas, et donc le fameux pic des ravageurs AUSSI, qui vont sortir affamés vers vos jeunes pousses et vos paillages appétissants

✔︎ C’est encore l’hiver : le meilleur moment pour soutenir vos alliés, nourrir et héberger vos insectes auxiliaires en masse.

Plus ils sont nombreux et diversifiés au m2, plus vous les remercierez dans l’année !

✔︎ C’est la meilleure résolution pour ne pas refaire les erreurs du passé et passer directement à l’étape supérieure de l’abondance en synergie avec la nature

✔︎ C’est enfin la paire de lunettes qu’on attend tous pour savoir lire la nature.

✔︎ C’est une activité à pratiquer en famille.

 

Je vais vous montrer comment, avec le nouvel outil que je lance ce mois-ci :

Mais avant, il faut bien comprendre que vous avez de nombreuses cartes en main pour y arriver.
Il ne vous manque qu’un coup de pouce.

Il serait donc fou de vous en priver !

C’est toujours pareil : l’antidote et le poison se trouvent au même endroit

Mais 9 jardiniers sur 10 ne le voient pas.

Ils ne voient que le poison, le « ravageur » (limace, puceron, mildiou, teigne du chou etc…) sans voir la solution à portée de main, vraiment.

Et ils agissent trop tard, ou « trop », et ils commettent plus de dégâts que les ravageurs sur place.

La preuve en image, regardez ce que je tiens par la main :

Cet épi ne va rien craindre :

Votre allié est déjà sur place, c’est ce minuscule œuf de Syrphe, à droite, qui ressemble à un grain de riz basmati, il fait environ 1mm.

Oui il faut avoir l’œil (et parfois la loupe), mais une fois qu’on connaît les bases on est autonome à vie.

Il faut savoir les voir > les reconnaître (ami ou ennemi) > en quoi ils sont utiles
 > que faire / ne pas faire

Ici par exemple, le Syrphe est un allié de taille au jardin, car la larve est friande de pucerons, et l’adulte est un précieux pollinisateur !

C’est l’un des rares des précieux auxiliaires, qui vous aident à toutes les étapes de sa vie (comme les chrysopes).

Ici c’est pareil, pas de panique, la bataille est déjà remportée par vos alliés :

¾ des pucerons que vous voyez sur cette tige sont déjà… morts !

Je vais vous expliquer en détail cela dans quelques instants (pucerons momifiés…).

Wow intéressant, mais comment je fais pour le savoir ça ?
Et même si je le sais, concrètement comment je fais pour les accueillir alors ces auxiliaires ?!

Justement j’ai conçu ce qu’on attend tous :

✔︎ une nouvelle collection de parutions drôles et UTILES pour savoir, et savoir que faire (ou ne pas faire),

✔︎ comment observer, comment orchestrer, chaque mois, un jardin sain rempli de…

✔︎ plantes sauvages et d’insectes auxiliaires : les complices oubliés des jardins naturels.

En réalité, ce sont plutôt de mini feuilletons policiers, car on apprend bien mieux en s’amusant que dans des manuels stricts de jardinage…

Cette année, on va donc devenir des jardiniers-Sherlock Holmes ensemble :

Dès maintenant, prenez l’habitude de jardiner autrement : en observant votre jardin chaque jour 10 min, comme un Sherlock Holmes en enquête.

Je vais vous former pour avoir cet œil d’expert, ce geste d’antan, il vous le faut pour obtenir un jardin naturellement abondant, résilient, autonome.

Pour avoir un jardin en pleine santé pour des récoltes réellement saines !

Je suis bien d’accord avec vous : facile à dire mais pas à faire !
Pour y arriver, il faut connaître ceux qui savent.
Ceux qui savent quoi ?

La biodiversité fonctionnelle.

Belle, ET redoutablement efficace

Pourquoi choisir l’un ou l’autre ?!

La biodiversité dont je vous parle n’est pas là « que pour faire jolie » ou sauver l’écologie.
(même si c’est déjà énorme, on est d’accord 😊).

C’est une biodiversité fonctionnelle : elle est réellement immédiatement utile aux jardiniers et aux professionnels : agriculteurs, maraîchers, horticulteurs.

  • Les insectes auxiliaires sont encore plus efficaces que les produits naturels ou chimiques
  • Ils sont multifonctions et ne causent aucun dommage aux cultures, c’est tout le contraire
  • Ils respectent le fonctionnement universel de la nature

 

Des chiffres ?

✔︎ Les araignées par exemple, sont mega utiles !

Une étude a montré que 30% des pucerons ailés étaient capturés dans les toiles. [5]
Mais pas seulement les pucerons sont arrêtés par les toiles mais aussi les psylles, les thrips etc.

En totalité, environ 900 proies peuvent être collectées dans les toiles en une année.
Laissez-donc des toiles d’araignées au jardin, elles sont naturellement placées aux endroits stratégiques pour vous aider !

✔︎ Les renards vous font faire des économies :

Pierre Boillaud, photographe animalier, a calculé que le renard permettait à un agriculteur de réaliser plus de 3 800 euros d’économies par an, en mangeant les campagnols qui attaquaient ses cultures. [6]

✔︎ Selon la FAO, c’est carrément +75% de production des principales cultures alimentaires grâce à l’ensemble des pollinisateurs comme les abeilles, les oiseaux et les chauves-souris. [1]

 

« Ceux qui savent » sont ceux qui sont multi-casquettes, et c’est le fruit de toute une vie :

  • Expertise des insectes (sachant qu’ils représentent 50% des espèces animales sur terre…)
  • Parmi ces insectes, expertise des auxiliaires (ceux qui vont aider le jardinier)
  • Expertise du jardinage (et de l’agriculture)
  • Expertise des plantes sauvages, endémiques
  • Expérience de terrain, chaque jour dehors, à observer, analyser, répertorier les combinaisons gagnantes, les comportements, en fonction de la saison, du type de culture, du climat, du sol etc…

Autant dire qu’ils sont peu nombreux.

Mais j’en connais une, et de taille !

Bonne nouvelle, je vous présente mon amie Johanna Villenave Chasset

Lorsqu’elle n’est pas sur le terrain, elle est dans son labo, ou avec sa famille.

Johanna est une femme d’exception qu’il vous faut absolument découvrir.

[2]

C’est une scientifique qui étudie les insectes, et plus spécialement les auxiliaires. Les auxiliaires sont des insectes qui permettent de réguler les nuisibles et les parasites dans les cultures. Ils pollinisent également les fleurs.

Une pionnière !

Johanna Villenave-Chasset fut l’une des premières en France à encourager la protection des cultures agricoles grâce aux auxiliaires. En 2007, elle a créé son propre laboratoire de recherches appliquées : Flor’Insectes.

Son objectif est de diminuer, voire de stopper, l’utilisation des produits chimiques et des pesticides dans les cultures agricoles et dans les milieux urbains (dans les parcs par exemple) grâce à l’utilisation des insectes auxiliaires.

L’experte en France pour accompagner les agriculteurs vers le zéro pesticide

Elle intervient auprès des agriculteurs, des maraîchers, des jardiniers, des viticulteurs. Elle les forme et les informe, afin qu’ils soient en mesure de protéger naturellement leurs cultures.

Une pointure sur le terrain, qui aide à changer les lois !

Les agriculteurs accompagnés par Johanna sont si satisfaits de son accompagnement, qu’ils ont parlé d’elle aux autorités nationales, pour qu’on la missionne pour supprimer le retour du pesticide meurtrier néonicotinoïdes.

Johanna a été missionnée par les autorités pour trouver les alternatives et les études de tests sur grande échelle pour prouver que OUI on peut s’en passer en utilisant uniquement les solutions naturelles de biodiversité fonctionnelle.

Comment ?
En agissant en amont du problème.

En effet, si les orties étaient présentes un peu partout dans les jardins et en bordure de cultures comme les betteraves, les populations de pucerons seraient peut-être régulées avant même que ces insectes piqueurs-suceurs ne transmettent la jaunisse.

Car cette jaunisse (à cause du puceron vert du pêcher (Myzus persicae), qui transmet la maladie de la jaunisse sur la betterave) et les dégâts de ces cultures ravagées ont permis le grand retour des néonicotinoïdes, ces insecticides systémiques dévastateurs, tueurs d’abeilles, qui ont droit à une dérogation. Bref, parenthèse fermée.

Une pointure rare

Le problème c’est, qu’en France, ils ne sont que 4 à ma connaissance à connaître cette science vitale pour notre nouvelle ère : la biodiversité fonctionnelle.

Ou plutôt… il n’y en a qu’UNE.

Chaque expert a sa spécialité, et celle de Johanna, c’est justement d’accompagner les agriculteurs dans leur conversion au bio, sans pesticides !

Généralement, elle n’a pas affaire avec les particuliers.

Elle aide les maraîchers, les horticulteurs.

 

Grâce à Johanna, cette horticultrice a diminué de 50% les pesticides dans ses serres ! [4]

L’horticultrice a planté tout le long de ses serres des plantes de services pour nourrir ses auxiliaires sauvages. Elle a réussi au fil des années à avoir un bon réservoir d’auxiliaires, si bien qu’elle n’a plus eu besoin d’acheter des auxiliaires pour les lâchers dans ses serres.

Ses plantes de services fournissent du pollen et du nectar pour les auxiliaires afin qu’ils pondent en quantité sur ses plantes cultivées, et sont des plantes qui hébergent des proies de substitution. Elle a donc un élevage d’auxiliaires au sein même de son exploitation.

Mais sa plante préférée reste l’ortie. Elle a planté des petites orties à l’ombre de ses serres. Elles sont devenues magnifiques et surtout elles sont remplies d’auxiliaires : des coccinelles par dizaines, des punaises prédatrices, des larves de syrphes…

Elle a juste à placer un plateau en dessous des branches d’orties qu’elle secoue, et tous les auxiliaires tombent dessus. Puis elle les relâche sur ses plantes pleines de pucerons dans ses serres.

Résultat, elle a diminué ses insecticides de 50% !

Bordure de vivaces pour les auxiliaires, dans un objectif de protection des plantes, implantée dans une exploitation horticole.

Johanna n’a pas une minute : c’est une pointure, alors TOUT LE MONDE la sollicite !

Elle sillonne littéralement la France entière pour analyser ses relevés de terrain et former les professionnels à la gestion naturelle des ravageurs !

Elle accompagne aussi bien les viticulteurs, que les agriculteurs de grandes céréales, les maraîchers, les vergers, etc !

Elle est unique en son genre…

Évidemment, elle a une expertise hors du commun, mais c’est surtout pour son talent naturel à vous le transmettre de façon accessible et passionnante que j’ai souhaité coûte que coûte que vous puissiez bénéficier de sa présence… sans avoir à bouger de chez vous !

J’ai rencontré Johanna… dans un champ.

Lorsqu’elle donnait un cours à des agriculteurs en conversion au bio.

Filets à la main, en train de marcher parmi les rangées de blé, de colza et de luzerne, à pêcher les insectes invisibles aux sommets des plantes, et à leurs pieds.

 

En train d’apprendre un nouveau langage, voir le monde autrement.

Souvenez-vous quand vous étiez petit et que vous ne saviez pas lire : les devantures de magasins, les panneaux le long de la route…

Au jardin, dans la nature, c’est pareil !

Il y a tout un monde qui vous échappe car vous ne savez pas encore le décrypter.

Heureusement, Johanna et Saine Abondance ont créé l’impossible pour outiller cette nouvelle ère de bien-être et de synergie avec le végétal.

Une nouvelle ère ? De nouveaux outils !
Elle a dit OUI.

Cette année sous le signe de la santé, du bien-être, de l’écosystème : pour le jardin, et pour vous !

Que vous ayez un jardin OU PAS, vous pouvez vous émerveiller de la vie du jardin, et préserver cette biodiversité en extinction : chez vous, sur un rebord de fenêtre, dans les parcs, dans l’école de vos enfants, dans votre entreprise etc…

Savoir voir et vivre la biodiversité est possible pour tous, partout, grâce au nouvel outil :

Je suis en train de concevoir avec Johanna 12 numéros U-N-I-Q-U-E-S qui vous donnent toutes les clés, chaque mois, sur les 4 saisons :

Rejoignez les initiés de la biodiversité fonctionnelle !
Recevez la toute première parution essentielle :

Plus de 32 pages d’enquêtes au jardin, à vivre en famille, pour voyager gratuitement, dépaysement assuré et bienfaits immédiats !

Voici le fonctionnement de chaque parution

C’est une revue qui se vit en 2 temps :

  • Lire cette parution adaptée aux enfants, aux familles, aux jardiniers, aux amoureux de la nature sans forcément jardiner, aux débutants, aux avertis, aux agriculteurs, aux maraîchers, aux horticulteurs, aux maisons de retraite.

Accessible pour tous !

  • Sortir au jardin, ou dans le parc du coin, pour vérifier par vous-même les folles informations enfin décryptées de ce qui se trouvait sous vos yeux. Bingo, vous retrouverez votre joie d’enfant, et vous pourrez partager à vos proches tout ce que vous aurez découvert pour devenir le guide et le gardien d’une biodiversité vécue, vivifiante !

Accessible partout !

 

C’est une revue conçue en 2 parties.

Partie 1, pages 3 à 18 :

Dans la première partie, vous pourrez vous mettre dans la peau d’un jardinier Sherlock Holmes qui découvre chaque mois des aventures inédites.

Le contenu est d’une folle puissance :

✔︎ D’une densité d’informations souvent inconnues et primordiales qu’on ne trouve nulle part ailleurs aussi facilement à ma connaissance,

✔︎ Accessible pour un enfant de 5 ans grâce aux dialogues, aux croquis, au ton du journal intime du carnet de voyage.

Sans même vous en rendre compte, cela vous permet inconsciemment d’apprendre les bons réflexes lorsque vous observez le jardin :

✔︎ qu’observer,

✔︎ à quel endroit,

✔︎ comment se poser les bonnes questions,

✔︎ quelles déductions en tirer ?

Il faut lire et « vivre » cette parution
avec vos enfants, vos petits-enfants, vos amis !

C’est du sur-mesure pour les familles, pour une activité conviviale et sociale, avec de multiples expériences à mener.

Quelques extraits de la première parution :

 

Vos enfants voudront devenir à leur tour les dresseurs d’insectes !

Ou alors ils ne vous croiront pas…
lorsqu’ils découvriront un bébé coccinelle pour la première fois :

Parents et enfants voudront trouver des pucerons-momies,
découvertes impressionnantes !

En somme, la première partie nous permet de renouer avec notre âme d’enfant, si efficace pour jardiner facilement et sans effort.

Acceptez votre rôle de chef d’orchestre

On peut voir le jardin comme un opéra : le jardin est le lieu physique de l’opéra, son décor où la magie prend place.

Vous, vous avez le rôle de l’ombre.

Vous laissez faire les musiciens et les acteurs : les plantes (sauvages) et les insectes (auxiliaires) faire ce qu’ils font mieux que vous, mais ils ont besoin de votre subtil accompagnement.

D’un coup de baguette, vous donnez le tempo.

Grâce à mes nouvelles parutions mensuelles « Mes enquêtes biodiversité », vous saurez lire cette partition et vous pourrez écouter la parfaite symphonie qui se joue sous vos pieds, vos yeux, vos mains.

Mais les insectes auxiliaires (ou ravageurs) sont comme nous : ils ont besoin du gîte et du couvert pour donner leur spectacle tous les jours, sans faute.

 

La partie 2, des pages 18 à 32, vous outille pour agir sans erreur !

Après l’enquête et l’émerveillement, place aux explications, aux tutos et aux astuces inédites.

Les auxiliaires et les végétaux vivent en duo – impossible de les séparer.

Dans la parution n°1, les pucerons ne seront pas les seuls sous les projecteurs.

 

Vous découvrirez par exemple :

  • les plantes sauvages utiles pour leur survie, celles de votre région
  • les « mauvaises herbes » déjà disponibles au jardin, qui leur servent de refuges et comment les intégrer au mieux à votre joli jardin pour la paix des ménages (vie sauvage/potager)
  • les plantes inédites à adopter au jardin pour favoriser le développement de vos
    potagères – fleurs – arbustes – arbres – plantes sauvages, on verra tout ce qu’il vous faut

 

Johanna et Saine Abondance vous livrent sur un plateau d’or

  • Toute une vie de connaissances cachées, d’expériences de terrain et de solutions pour une abondance saine et durable.
  • Tous les tests positifs réalisés chez des agriculteurs ou maraîchers, dont vous pourrez enfin bénéficier dans votre jardin privé
  • Tous les conseils de jardinage

Vous n’avez qu’à suivre les modes d’emploi !

Ne ratez pas ce premier numéro vital 

Qui ne connaît pas de pucerons au jardin ? Faites-en maintenant des alliés, à vie !

  • Vous découvrirez que les pucerons se moquent souvent de vous
  • Qu’il y a puceron et puceron : certains se cantonnent à une plante relais
  • D’autres vont se balader dans tout votre jardin !
  • Il y aura certaines essences à investiguer pour suivre la piste de ces petits jardiniers déguisés : les orties, les noisetiers, ou encore les sureaux, mais aussi les plantes qui les attirent grâce à leur pollen et leur nectar : certaines légumineuses, carottes, fenouil, cumin…
  • Vous saurez pourquoi vous réjouir dès que vous verrez des pieds « infestés » : Les pucerons des orties apparaissant très tôt en saison, ils attirent rapidement les coccinelles et les syrphes.

La parution n°2 est également incontournable !

Cette année, vous ne ferez plus le « nettoyage » du jardin comme avant.

On s’attardera sur les orties – véritables reines du jardin traitées comme des moins que rien !

Vous découvrirez la face cachée de l’ortie :

✔︎ Que les insectes sur les orties RESTENT sur les orties. Ils ne feront pas de mal à quiconque d’autre.

✔︎ Tous les ennemis naturels des pucerons se retrouvent sur les orties : coccinelle à 7 points, Coccinelle à damier, Coccinelle des friches et autres coccinelles, syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus), syrphe porte-plume (Sphaerophoria scripta), syrphe des corolles (Eupeodes corollae), Melanostoma et autres syrphes, chrysopes, punaises prédatrices etc

✔︎ Que l’ortie est la « maman du jardin » : il faut en laisser en grand nombre, c’est une vraie pouponnière de vos alliés.

✔︎ Et c’est elle qui fixe les règles.

✔︎ Ce n’est pas pour rien qu’on commence à vendre de l’ortie… en pot !

✔︎ Ou que des experts se mettent à cultiver des jardins d’orties !

✔︎ Les orties sont également les seules plantes à nourrir certains papillons majestueux, et en extinction. En fonction d’où se trouvent vos orties, au soleil ou à l’ombre, elles n’abriteront pas les mêmes espèces de papillons.

✔︎ Mais attention, sa culture n’est pas si facile.

Pour accompagner ce 2eme numéro, vous pourrez également recevoir immédiatement mon dossier cadeau sur l’ortie :

Pelouses et jardins ornementaux ne seront pas en reste !

Dans nos parutions « Mes enquêtes biodiversité » nous verrons tous les recoins possibles à biodiversifier de toute urgence.

Comment avoir des fleurs qui nourrissent réellement (ne prenez pas celles avec double pompon par exemple !), comment avoir une tonte en accord la biodiversité, etc.

Et ce n’est pas si facile…

Créer des bandes fleuries peut paraître facile, mais en réalité…

Cela demande une grande technique : le mélange des plantes doit être pertinent et adapté à la fois aux cultures et également aux auxiliaires. Il existe cependant des mélanges préparés, composés de vivaces, de plantes annuelles, et de bisannuelles. L’objectif principal est d’avoir des plantes suffisamment diversifiées.

 

Mais dans le cas de ce genre de mélange…

La diversité prévaut généralement les 3 premières années. Ensuite, une seule des plantes a « tendance à dominer ». Il faut alors renouveler les plantations, ce qu’on oublie, ou ne sait pas forcément…

 

La parution n°3 à ne pas louper ! 

Dans cette parution, vous découvrirez le couple du mois en intégralité :

 

Un nouveau regard sur les syrphes et les mouches – tutoriels pour les attirer au jardin – la découverte de la carotte… – et de ses mystères – comment les professionnels les utilisent – et comment vous pouvez les utilisez dans votre jardin

 

Au fur et à mesure de vos parutions, un véritable puzzle magique se mettra en place !

Mais ce n’est pas tout, pour fêter le lancement de cette nouvelle revue mensuelle…

Je vous offre ces 5 dossiers cadeaux clés !

Les bases de la biodiversité
Toutes les solutions pour éviter les pesticides et les solutions naturelles qui font des dégâts

 

N°1 : Observation, les règles de l’observation, et ce que vous pouvez observer toute l’année

N°2 : Le guide des décoctions et purins miraculeux grâce aux mauvaises herbes déjà présentes chez vous

N°3 : Le retour des oiseaux une fois que vous aurez des auxiliaires ET des ravageurs
astuces inédites

N°4 : L’ortie de A à Z pour maximiser les bienfaits miraculeux de cette plante mal aimée à tort

N°5 : La stratégie des plantes relais et où les placer au jardin
je vous donnerai mes croquis maison pour inspiration

D’une valeur de 25€ > OFFERT

Comment bénéficier de tout cela ?

Il suffit de souscrire à un abonnement à ma nouvelle revue :

Pour cela, vous avez 2 options : abonnement mensuel, ou trimestriel.

Voici les détails :

Vos garanties

Une formation OVNI
De la qualité, du génie, du baume au cœur.

  • Des contenus (textes, informations, astuces) qu’on ne trouve nulle part ailleurs, à ma connaissance, vulgarisés comme nulle part ailleurs
  • Une pédagogie hors pair (croquis maison, photos d’expériences réussies sur le terrain, histoires sous forme de carnet de jardinier)

Vous êtes satisfait, ou remboursé ! Vous pouvez demander le remboursement intégral !

Si à l’issue des 15 premiers jours (pour l’abonnement mensuel) ou à l’issue des 60 premiers jours (pour l’abonnement trimestriel) vous n’êtes pas satisfait ou ne pouvez pas donner suite à votre abonnement, aucun souci : vous savez qu’il suffit de m’écrire via ce formulaire de contact et vous serez désabonné et intégralement remboursé.

Quelques retours d’expériences de clients (sur d’autres abonnements puisque celui-ci est une nouveauté) :

Aucun engagement, vous arrêtez quand VOUS voulez

Les 12 prochaines enquêtes de biodiversité sont conçues pour couvrir au fur et à mesure les 4 saisons.

 

Pour participer ainsi à sauver la biodiversité en extinction massive.

 

Pour faire de votre jardin un écosystème digne de ce nom.

 

Pour vous émerveiller et vous montrer sur 365 jours 365 raisons de vivre et de redécouvrir votre âme d’enfant.

Mais bien sûr, vous pourrez vous arrêter bien avant, c’est vous qui décidez !

Mise en garde

 

Ne vous fiez pas au ton romancier ultra pédagogique de ces nouvelles parutions.

Elles sont d’une puissance inouïe.

Mais bien sûr, tout ne va pas changer du jour au lendemain.

Mais si vous appliquez consciencieusement tous les conseils de ces parutions (plantes relais, plantations, observations etc…) alors ça peut aller très vite comme dans le jardin de Marc)

Voici ce que personne ne vous dit sur le jardinage 100% naturel :

Oubliez vos ravageurs, et concentrez-vous plutôt sur vos alliés à inviter en masse !

C’est un peu comme dans la vie :

  • Les ravageurs existeront toujours. C’est un peu comme nos défauts, on en a tous !
  • Mais vos auxiliaires prêts à autoréguler la situation existe ! C’est un peu comme vos qualités. Vous avez meilleur temps d’améliorer vos qualités pour devenir la meilleure version de vous-même que travailler à être sans défaut. Car la perfection n’existe pas.

Rappels :

  • Apprenez à lire la biodiversité actuelle de votre jardin,
  • Découvrez comment l’augmenter pour qu’elle vous serve à votre guise, sur demande !
  • Regagnez cette âme d’enfant enchanteresse : l’observation est un outil de jardinage aussi subtil que puissant.

Vous ne risquez absolument rien

Au pire, vous êtes remboursé, et vous conserverez tout cela, d’une valeur inestimable !!

✔︎ Synthèse de connaissances et d’expériences terrain transmise nulle part ailleurs

✔︎ Guide pratique pour enfin reconnaitre, planter, agir ou non agir avec brio

✔︎ Outil pédagogique pour tout âge !

Et c’est LE bon moment pour découvrir et bénéficier de cela

✔︎ Pour faire face aux ravageurs qui vont sortir affamés vers vos jeunes pousses et vos paillages appétissants

✔︎ Pour soutenir vos alliés, nourrir et héberger vos insectes auxiliaires en masse.
Plus ils sont nombreux et diversifiés au m2, plus vous les remerciez dans l’année !

✔︎ C’est la meilleure résolution pour ne pas refaire les erreurs du passé et passer directement à l’étape supérieure de l’abondance en synergie avec la nature

✔︎ C’est enfin la paire de lunettes qu’on attend tous pour savoir lire la nature.

✔︎ C’est une activité à pratiquer en famille.

 

Vous n’avez pas de jardin en ce moment ?

Aucun souci, on peut tous profiter de la nature un peu partout.

Il suffit de trouver un petit coin dans une rue, un parc, un champ, une forêt.

Vous pourrez tester tout cela surtout si vous n’avez pas de jardin !

La biodiversité doit se réapproprier sa planète, partout.

 


Votre jardin semble « bien » sans ravageur ?

Tant mieux, et comme vous le savez, la prévention est le meilleur médicament de la santé.

C’est à vous de voir !

Ce serait tellement dommage de ne pas bénéficier du premier numéro à découvrir en bénéficiant D’une possibilité de vous rétracter !!

FAITES SUR MESURE POUR :

 

Les vrais jardiniers du 100% naturel, et amoureux de polar !

Ceux qui veulent jardiner cette saison avec les insectes pour créer un potager ultra résilient.

Les familles en quête d’activité nature, gratuites, au quotidien, alors suivez mes enquêtes biodiversité.

 

 

Cliquez ci-dessous pour choisir sur le bon de commande l’abonnement découverte qui vous convient le mieux :

En vous abonnant pour tester le 1er numéro :

  • Vous recevrez immédiatement après l’achat un email de confirmation contenant vos 5 dossiers cadeaux numériques (d’une valeur de 25€, OFFERTS exceptionnellement).
  • Le lendemain matin votre parution n°1
  • Puis,  chaque mois, vous recevrez la suite logique des parutions !

Vous avez une garantie satisfait ou remboursé à 100% pendant 15 jours à compter de la date de votre achat si vous avez opté pour l’abonnement mensuel à la revue « Mes enquêtes biodiversité ».

Cette garantie est de 60 jours, si vous avez opté pour l’abonnement trimestriel.

L’abonnement mensuel coute 12€ par mois pour 1 parution de 32 pages par mois.

L’abonnement trimestriel coute 32€ pour 3 mois soit 3 parutions par trimestre de 32 pages par mois.

En vous inscrivant à la revue « Mes enquêtes biodiversité », vous recevrez :

. Votre parution n°1 : des pucerons et des féveroles

. Puis, chaque mois, vous recevrez la suite logique des parutions.

. Vos 5 cadeaux de bienvenue numérique le jour de votre achat :  

5 dossiers sur les bases de la biodiversité : toutes les solutions pour éviter les pesticides et les solutions naturelles qui font des dégâts

Cette nouvelle revue est, à l’heure actuelle, accessible qu’en version numérique. En fonction du nombre d’adhérents, et si nous sommes capables d’absorber les coûts relatifs à une parution papier, nous lancerons une version papier.

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Si vous opté pour un abonnement version numérique à ma nouvelle revue « Mes enquêtes biodiversité », vous recevrez la version numérique de votre parution n°1 le matin suivant votre jour de commande. Puis, chaque mois, vous recevrez la suite logique des parutions.

Sources

[1] http://www.fao.org/ecosystem-services-biodiversity/background/regulatingservices/fr/

[2] Magazine ayant interviewé Johanna Villenave Chasset

[3] https://www.who.int/fr/about/who-we-are/constitution

[4] Cas pratique vue dans la parution n°1 de mes enquêtes biodiversité

[5] E. Gavish-Regev et al., 2009. Consumption of aphids by spiders and the effect of additional prey: Evidence from microcosm experiments. BioControl 54(3):341-350. DOI : 10.1007/s10526-008-9170-0

[6] Johanna Villenave Chasset, 2017. La biodiversité fonctionnelle : protection des cultures et auxiliaires sauvages. France Agricole Eds

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